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Mercredi 29 mai à 18h30 : rencontre avec Oscar Coop-Phane

Mercredi soir, la librairie et les excellentes Editions Finitude vous invitent à rencontrer Oscar Coop-Phane, lauréat du Prix de Flore en 2012 pour son premier roman Zénith-Hôtel, et qui vient d’en publier un second tout aussi bon, Demain Berlin.

Il a à peine 25 ans, mais Oscar Coop-Phane écrit déjà avec une élégance et une maturité qui manque a nombre de ses aînés. Ses personnages sont cabossés, abîmés par la vie : Nanou la prostituée parisienne, et ses clients, dépeints avec beaucoup de tendresse et d’humanité dans Zénith Hôtel ; ou les personnages de Demain Berlin, qui cherchent à trouver un peu de chaleur humaine parmi les « druffis », ces gens de tous âges et tous horizons qui peuplent les boîtes techno de la capitale berlinoise abusant de drogues pas toujours douces… Sombres mais jamais trash, toujours pudiques, les romans d’Oscar Coop-Phane sont des petits bijoux de mélancolie…

affiche OCP

 

Et si ces quelques mots du libraire ne suffisent pas à vous convaincre, voici un échantillon des critiques élogieuses qui ont accompagné ces deux premiers romans :

– A propos de Zénith-Hôtel :

« Oscar Coop-Phane a lu Henri Calet et Emmanuel Bove, il a retenu leur prose modeste et bouleversante, mais il n’est pas un copieur, juste un amateur qui rend hommage à ses lectures. Il écoute les solitaires des grandes villes, les perdants minuscules. Nanou, sa « vieille putain plumitive », dit qu’elle « esquinte le temps ». Oscar Coop-Phane n’a pas gâché le nôtre, de temps, en écrivant ce texte poétique et triste comme un dimanche solitaire. »
Christine Ferniot, Télérama.

C’est un roman mélancolique et poisseux, désespéré, hors du temps, et qui marque une entrée rigoureuse, vigoureuse aussi, dans la littérature française contemporaine.
Yann Moix, Le Figaro littéraire.

Oscar Coop-Phane, en sortant de l’ombre sa trimardeuse, ne s’égare ni dans la compassion gnangnan ni dans la lamentation crapoteuse. Il trousse une complainte de fille de joie, généreuse, en petits bonheurs arrachés à la crapulerie du monde.
Martine Laval, Siné mensuel.

 

– A propos de Demain Berlin :

On a découvert Oscar Coop-Phane l’an dernier avec «Zénith-Hôtel», salué par le prix de Flore. On avait été frappé par la qualité et la précocité de sa prose, de son chagrin, de ses désillusions. Cet écrivain de 25 ans s’est dépêché de prouver qu’on ne s’était pas trompé. Peintre des abandons, il connaît plus de cinquante nuances de gris, compare l’amertume du petit matin à «une fumée de pipe mal tassée» et sait que «le seul obstacle à une vie errante, c’est le poids des livres». Les siens pèsent déjà. C’est rare.
Jérôme Garcin, Le Nouvel Observateur

Oscar Coop-Phane a réussi un exploit rare: un très beau roman, écrit dans une langue classique et superbe, qui traite de sujets branchés. Il semble presque surnaturel qu’un jeune auteur – il a 25 ans – ait une telle maîtrise du style, une telle connaissance de l’âme humaine. […] Lisez «Demain Berlin», vous ne pourrez pas décrocher.
Patrick Williams, Elle

L’auteur nous transmet un mélange de douceur, de violence, à l’aide d’un style aussi énergique que désabusé et d’une écriture fougeuse, mais déjà empreinte de maturité. Ses héros sont des nouveaux romantiques, il y a en eux du Kerouac, du Rimbaud.
Marie Musy, Quartier Livres

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