Soirée cinéma : En guerre de Stéphane Brizé

Soirée cinéma avec présentation et discussion autour d’une sélection d’ouvrages publiés à l’occasion du cinquantenaire de mai 68. Nous irons ensuite au cinéma Le Méliès pour la projection du film En guerre de Stéphane Brizé. Collation à la librairie + prévente place de cinéma : 8 euros.

Pensez à réserver !

 

L’escampette organise régulièrement des soirées cinéma en partenariat avec Le Méliès. Le principe : un échange à la librairie autour de livres en lien avec une sortie nationale. Puis nous allons voir le film ensemble à la séance de 20 heures au cinéma (8 minutes à pied de la librairie !).

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Rencontre avec Laure Gasparotto et Lilian Bérillon

Rencontre avec Laure Gasparotto (journaliste) et Lilian Bérillon (pépiniériste viticole) co-auteurs de l’essai Le jour où il n’y aura plus de vin paru chez Grasset en février 2018.

« A l’heure où la presse s’extasie devant de nouveaux chais clinquants à plusieurs millions d’euros, imaginés par de célèbres architectes, la vigne se meurt. Chaque année, son espérance de vie diminue. Autrefois on plantait pour cent ans, demain ce sera à peine pour vingt-cinq. Le coupable ? Le réchauffement climatique bien sûr, mais aussi l’homme et les techniques de culture. Si rien n’est fait, dans cinquante ans, le vin tel que nous le connaissons et l’aimons – avec ses terroirs prestigieux, ses grands crus et ses coteaux qui s’ombrent à l’automne d’un grenat antique – aura disparu…
Lilian Berillon était un pépiniériste comme les autres. Longtemps il a considéré le cep comme une marchandise : rendement et productivité régissaient son travail. Jusqu’au jour où il a compris qu’il risquait de devenir un trader, un « courtier du végétal », performant et à courte vue ….
Aujourd’hui, les plus grands domaines s’arrachent ses  conseils et souhaitent lui acheter ses plants. Son secret ? Une métamorphose radicale dans la conception de la vigne. Fini les plants hors-sol, issus du clonage et des éprouvettes, Lilian Berillon parcourt le monde, à la recherche des sarments qui donneront les raisins de demain, taillés pour affronter le temps qui passe et le climat qui change. Il s’agit avant tout de restituer au vignoble son histoire biologique et de revenir à des méthodes de culture fiable. Car le vin n’est pas une affaire de chimistes ou de pépinières au goutte à goutte, mais le fruit du mariage entre l’homme et la nature : le sang de la terre.
Voici le récit d’un combat pour la sauvegarde d’un patrimoine vieux de plusieurs millénaires. Des premiers vignobles gallo-romains aux clos fondés par les moines, des cépages bourguignons aux grands châteaux de Bordeaux et de la Napa Valley, c’est un chapitre entier de notre histoire qui s’effacerait… »

Source : éditions Grasset

Une rencontre organisée en partenariat avec l’association des Librairies indépendantes en Nouvelle-Aquitaine. 

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Rencontre débat avec Aude Vidal

Rencontre avec Aude Vidal qui a coordonné l’édition du livre On achève bien les éleveurs. Résistances à l’industrialisation de l’élevage publié aux éditions de L’Echappée, un ouvrage illustré par Guillaume Trouillard.

« Ce que nous nommons encore élevage se trouve aujourd’hui pris entre deux feux. D’un côté, le souci légitime de l’impact écologique et sanitaire de la production industrielle de viande et de produits d’origine animale rejoint le refus de maltraiter – voire tuer – les animaux. De cela émerge une remise en cause profonde du geste d’élevage. Est-ce là un progrès pour notre humanité ou un nouveau stade de l’« administration du désastre » ? De l’autre côté, les éleveurs sont dépossédés de leur métier par des procédures toujours plus rigides et intrusives : puçage RFID des ovins et caprins, chantage aux primes agricoles, bureaucratisation croissante, reproduction artificielle…

Décriés d’une part, ils sont administrés de l’autre – en attendant que disparaisse la possibilité même d’élever des animaux autrement qu’en les concentrant dans de gigantesques usines. Ces menaces qui pèsent sur l’élevage sont un des symptômes de la soumission toujours plus grande de toutes et tous à la société industrielle. Le monde se referme alors que la liberté s’efface devant le contrôle systématique : au fond, ce que nous faisons subir aux animaux, nous nous l’infligeons également à nous-mêmes.

Éleveurs et chercheurs qui les accompagnent dans leurs luttes, toutes et tous expliquent dans ce livre pourquoi l’élevage doit être préservé afin que nos vies restent authentiquement humaines. »

Source : éditions de L’Echappée.

Aude Vidal est aussi l’auteure de Égologie. Écologie, individualisme et course au bonheur publié aux éditions du Monde à l’envers.

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Lecture poétique avec Nicolas Vargas et Didier Bourda

Les poètes Nicolas Vargas et Didier Bourda seront à L’escampette pour une lecture de Au départ tout va et Galerie montagnaise récemment publiés aux éditions LansKine.

Au départ tout va de Nicolas Vargas est une fantaisie mythologique. Bien sûr, on sourit en découvrant la psychologie de L’ŒIL, perdu dans le Cosmos, cherchant son alter ego… Mais ne vous trompez pas, c’est un drame que vous allez vivre, sous ses airs de métaphysique surréaliste de la PAROLE.

Un livre à l’écriture allègre, inventive qui s’accompagne d’un flip book.

 

Galerie montagnaise, de Didier Bourda. A partir de mots, de paroles d’Il, Elle, d’indiens…, à partir d’extraits de documents historiques, géologiques, poétiques, photographiques… matériaux sur lesquels s’opère l’agencement des énoncés pour dessiner les rives du Saint-Laurent parcourues par les Basques ou par l’anthropologue béarnais, le baron de Lahontan voyageur pionnier qui arpentait le Québec au temps de Louis XIV à la rencontre des tribus amérindiennes Innus.

Une langue rythmée qui interroge la source des mots, des noms de lieux ou de peuple.

En parallèle, et en complément Didier Bourda a effectué avec Cole Swensen et M.Antiphon un travail sonore : Cole Swensen traite du Gave de Pau, Didier Bourda du St Laurent. La figure du baron de Lahontan étant le point de rencontre.
Travail sonore à la croisée des deux langues/ deux rives.

Uauiapukut (eau bouillonnante) d’Émilie Arsicaud.

Coproduction : éditions LansKine et EA Prod.

Mixé et masterisé à Music Unit – Montreuil.

Source : éditions LansKine

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Rencontre avec les éditions Périégète

Rencontre avec Frédéric Bidouze et Fabienne Coudin, historiens, enseignants à l’Université de Pau et éditeurs aux éditions Périégète. Ils nous présenteront le travail de cette petite maison d’édition paloise qui publie des « itinéraires historiques », guides touristiques de différentes villes d’Europe à travers un événement marquant de leur histoire : le Paris de la Commune, Florence et la conjuration des Pazzi, la bataille d’Orthez de 1814…

Entrée libre.

 

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Rencontre avec Amaury Venault

Rencontre avec Amaury Venault, auteur d’une saga sur Aliénor d’Aquitaine à l’occasion de la sortie du deuxième tome, Aliénor d’Aquitaine, Reine de France, paru chez Geste éditions.

« Le duc d’Aquitaine est mort sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle, laissant deux orphelines : Aliénor et Pétronille. Par testament, leur père les a mises sous la protection du roi de France. Le duché d’Aquitaine est alors plus puissant que le royaume de France et s’étend du Poitou aux Pyrénées et de l’Atlantique à l’Auvergne. Le 25 juillet 1137 à Bordeaux, l’héritière du plus beau duché de France épouse Louis VII. Aliénor d’Aquitaine se passionne pour la politique. Louis VII est subjugué par sa reine qui défait la nuit ce que le conseil du roi décide le jour. Les années passent. Aliénor n’est toujours pas enceinte. Donnera-t-elle un héritier à la couronne ? Dans ce deuxième volume, l’auteur décrit
le couronnement d’Aliénor et son quotidien de Reine de France. »
Source : Geste éditions

Amaury Venault vit au sud de Poitiers. Passionné d’histoire médiévale, il fait revivre à travers ses romans les grandes figures historiques et légendaires qui ont marqué la Nouvelle-Aquitaine.

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Rencontre dédicace avec Michel Bernard

Le romancier Michel Bernard sera à L’escampette à l’occasion de la sortie de son livre Le bon coeur, Prix Roman France Télévisions, un très beau roman sur la figure de Jeanne d’Arc.

Pour lire notre chronique sur le livre, c’est ici

Michel Bernard est né à Bar-le-duc en 1958. Il passe toute son enfance en Lorraine dans le département de la Meuse. Il est diplômé de l’École nationale d’administration (ENA) en 1992, promotion Condorcet. Nommé sous-préfet de Reims, puis de L’Haÿ-les-Roses, il demande en 2016 une disponibilité afin de se consacrer à l’écriture. Il est l’auteur d’une dizaine d’ouvrages, dont Pour Genevoix, La Table ronde, 2011, Les Forêts de Ravel, éd. La Table ronde, 2015, Deux Remords de Claude Monet, éd. La Table ronde, 2016.

 

 

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