Rencontre avec Edith Chambon : Ma famille imaginaire (éd. de L’Agrume)

Vendredi 12 avril 
19h

Rencontre et dédicace avec Edith Chambon autrice du roman graphique Ma famille imaginaire (éd. de L’Agrume).

C’est l’histoire d’une femme d’une trentaine d’années qui, du jour au lendemain, se trouve tétanisée, clouée au sol. Quelque chose en elle s’est réveillé ou rompu, mais elle ne comprend ni quoi ni pourquoi… Alors sa mère se voit dans l’obligation de lui révéler certaines choses, longtemps tues et profondément enfouies. Et cette parole va, par effraction, balayer tout un imaginaire.

Une famille imaginaire, c’est celle qu’on a toujours connue, mais qui ne sera plus jamais vraiment la même, dès lors qu’on en déterre les secrets… Une famille imaginaire, c’est celle qu’on pensait créer, jusqu’à ce qu’on réalise qu’elle n’était pas vraiment destinée à exister.

Ma famille imaginaire est un récit autobiographique puissant. L’inventivité graphique est réjouissante, le texte sonne juste, la construction complexe du récit est très habile. Edith Chambon parvient à aborder les thèmes des secrets de famille, des violences sexuelles, de la féminité, avec humour et énergie.

Édith Chambon a grandi à la campagne du côté de Saint-Émilion, qu’elle quitte en 2000 pour ses études. Elle obtient une licence d’Arts plastiques à Bordeaux, puis se spécialise dans l’illustration et la bande dessinée à l’école Émile-Cohl à Lyon, dont elle sort diplômée en 2008. Elle commence à travailler à Paris dans l’édition jeunesse, la bande dessinée et la presse. Ma famille imaginaire est son premier projet personnel de roman graphique.

 

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Lecture : Les enfants ruisselants (éd. Script) de Geneviève Rando

Vendredi 5 avril
19h

Lecture à deux voix par Geneviève Rando et Thérèse Auclair du recueil de nouvelles Les enfants ruisselants (éditions Script).

À rebours des lieux communs sur l’enfance heureuse, l’auteure réveille en nous cette lucidité survenue à l’âge de raison. Pour revenir aux sources de nos émerveillements ou raviver les couleurs de nos colères enfantines. Telle une sorcière de plus qui vient se mêler de vivre, Geneviève Rando arrive avec un couffin plein jusqu’aux anses d’histoires et de leurres, de mensonges et de légendes à peine croyables, de berceuses et de mé-lopées transportées par des nomades d’un puits à l’autre, d’une vallée à un delta. Maintenant nous avons le temps qu’il nous faut pour que com-mence le conte à rebours, vers la déli-vrance de nos peurs et la guérison de nos blessures. Et, chemin faisant, nous humaniser un peu plus.

Geneviève Rando par elle-même, en quelques mots…
Vit et travaille à Bordeaux, actuellement.
L’écriture se prend comme elle vient, Nouvelles, Théâtre, Poésie, Récit.
Elle peut être acte de solitude comme de rencontres avec d’autres énergies et d’autres aventures. Elle explore la question des marges et des marginalités, les places des femmes, la transmission avec ses héritages et ses dettes, le récit pour les tout-petits. Elle traverse les sphères de l’intime du social et du politique.

 

Une écriture sensible,
un très beau livre, à découvrir !

 

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Janvier et février en un coup d’oeil

Le détail des rencontres est à lire plus bas !

Vendredi 19 janvier à partir de 10h
Dédicace avec Gilles Vincent pour son nouveau polar Amadeus (éd. Au diable Vauvert).

 

 

Vendredi 26 janvier à 18h30
Exposition-lecture autour de l’ouvrage Pierres de mer de Marie-Antoinette Bissay (poèmes) et Jacqueline Alos (encres) publié par Les ateliers d’aujourd’hui. La présentation sera assurée par Michel Bernier.

 

Samedi 10 février à 18h30
Vernissage de l’exposition de Simone Cros-Morea à l’occasion du Nouvel an chinois. Seront exposées plusieurs séries issues de son travail inspiré par la peinture chinoise et la calligraphie. Simone Cros-Morea est diplômée de l’Institut national des langues orientales en langue et civilisation chinoises, traductrice et spécialiste de l’oeuvre de Xiao Hong, romancière des années 1930.

Jeudi 22 février à 19h
Rencontre avec Célia Izoard autour de La ruée minière au XXIe siècle. Enquête sur les métaux à l’ère de la transition. (éditions du Seuil)

 

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Gilles Vincent en dédicace

Vendredi 19 janvier dédicace à partir de 10h
Apéritif à 18h30

Le livre :
Tarbes. En moins de deux ans, onze jeunes femmes ont disparu. Depuis, ni demande de rançon ni revendication. Jusqu’à ces derniers jours, où, l’un après l’autre, leurs corps sont retrouvés sur les lieux mêmes de leur disparition. Débute alors une traque impitoyable. Des Pyrénées aux Alpes de Haute-Provence, une chasse au serial-killer qui vous laissera à bout de souffle.

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Exposition/lecture avec Marie-Antoinette Bissay et Jacqueline Alos

Vendredi 26 janvier 
à 18h30

Présentation de l’ouvrage Pierres de mer (éd. Ateliers d’aujourd’hui) avec Marie-Antoinette Bissay (poèmes) et Jacqueline Alos (encres). Des encres seront exposées à la librairie. La modération sera assurée par Michel Bernier.

Marie-Antoinette Bissay, docteur ès Lettres, rédige depuis plusieurs années différents articles sur des poètes (Lorand Gaspar, Philippe Jaccottet, Gustave Roud, Jacques Ancet, Pierre Jean Jouve, Charles Juliet, Robert Marteau, Yves Bonnefoy, Anne-Marie Albiach, Michèle Finck, Bernadette Engel-Roux, Gérard Titus-Carmel….). Elle a également publié deux essais sur Lorand Gaspar en 2013 et 2015, un sur Vassili Golovanov en 2019 et un sur les liens poésie et peinture, Paroles intimes. Fenêtres ouvertes avec poètes et peintres, en 2023. Un recueil de poèmes, Regards ouverts. Carnets de Tableaux a été publié en 2022, aux éditions Aqua Aura.

Jacqueline Alos, plasticienne, photographe a enseigné à l’École Supérieure des Arts et de la Communication de Pau. Ses travux sont variés : dessin, pastel, encre, photo/graphisme. Elle réalise depuis 2020 des Encres sur différents papiers et cartons pour accompagner des textes poétiques. Elle crée aussi des livres d’artistes.

Présentation du recueil
Pierres de Mer : Les poèmes de Pierres de Mer ont été écrits par Marie-Antoinette Bissay ; les encres réalisées par Jacqueline Alos. Mots et images, poèmes et encres s’entrelacent parfaitement dans cet univers artistique qui relève d’une création poétique et d’une création picturale placées sous le signe d’une sensibilité complice et harmonieuse. Loin d’être une simple illustration, l’encre accompagne profondément le poème qui, lui-même, résonne intimement dans les stries de chaque image.

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Exposition de Simone Cros-Moréa

Vernissage samedi 10 février à 18h30

Nous avons le plaisir d’accueillir une exposition de Simone Cros-Moréa à l’occasion du Nouvel an chinois. 
Seront exposées plusieurs séries issues de son travail inspiré par la peinture et la calligraphie chinoises. Simone Cros-Morea est diplômée de l’Institut national des langues orientales en langue et civilisation chinoises, traductrice et spécialiste de l’oeuvre de Xiao Hong, romancière des années 1930.

LE PONT-桥 Acrylique sur papier, 60×80 cm

Présentation par l’artiste :

« Difficile de résumer en quelques lignes tant d’années passées à s’imprégner de la culture chinoise. Au départ, il y a de longues études en langue et civilisation chinoises et des diplômes obtenus à l’Institut des Langues Orientales. Puis l’enseignement de la langue au Brésil, en Espagne, en France et à Singapour.

Simultanément un intense travail de traduction de l’œuvre de Xiao Hong, écrivaine chinoise remarquable des années trente, reconnue aujourd’hui comme l’une des plus brillantes du XXe siècle et à qui j’ai consacré avec plaisir, et peine, des heures de recherche dans les dictionnaires et les divers écrits la concernant.

J’ai également créé et nourri un blog à sa mémoire.

Je viens enfin de publier sa biographie « romancée » en sommeil dans mes archives.

Parallèlement, j’ai poursuivi activement une activité de peintre, à l’encre de Chine ou à l’acrylique, avec, la plupart du temps, la presse chinoise -le papier lui-même ainsi que le contenu de l’article- témoignant du côté éphémère des nouvelles opposé à la permanence de l’écriture millénaire…

Voici les quatre « styles » retenus pour cette exposition :

Collages’ avec également comme support le papier journal, aussi utilisé par les débutants en calligraphie, mais surtout inspirés des découpages de la tradition populaire à l’origine de ma démarche picturale.

ou terre’ : cette idée est née au retour d’un voyage au Tibet aux couleurs dans les temples impressionnantes. Le carré symbole de la terre mais aussi espace rempli par les idéogrammes et pour les sceaux.

La gestuelle’ rappelle le geste du calligraphe, vif et unique, définitif.

Jeux calligraphiques inspirés par la découverte du peintre japonais Yokoyama Taikan (1868-1958) où pour la première fois, j’utilise l’encre et l’acrylique à même la toile. »

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