Philippe Lescarret en dédicace

Quand : vendredi 23 novembre à partir de 18h30
Où : à la librairie
L’auteur béarnais Philippe Lescarret dédicacera son troisième roman policier L’heure de notre mort qui parait aux éditions Cairn.

Présentation de l’éditeur :

« Été 2009. Alors que le procès du dernier criminel nazi est sur le point de s’ouvrir, plusieurs vieillards sont retrouvés morts dans le sud‐ouest de la France. Des témoins gênants venus d’Espagne ? Avaient‐ils commis des exactions ?

Guidé par une enseignante, spécialiste du Franquisme, le lieutenant Yann Loubeyres s’efforce de faire la lumière sur le passé. Avec ses coéquipiers de la PJ, il infiltre les réseaux les plus secrets, comme celui d’anarchosyndicalistes, se prenant pour les héritiers des Brigades Internationales. Il
met aussi sous surveillance des intégristes catholiques et des francs-maçons, gardiens de la morale.

Au milieu de tous ces donneurs de leçon, il comprend que le voyou n’est pas le seul à rendre des comptes. Le flic doit lui aussi affronter son passé le plus intime. »

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Rencontre avec Denis Hirson / Ma langue au chat, tortures et délices d’un anglophone à Paris (éd. Points)

Quand : mercredi 21 novembre à 18h30
Où : à la librairie

 

Rencontre avec l’écrivain franco-sud-africain Denis Hirson autour de son livre Ma langue au chat, tortures et délices d’un anglophone à Paris (éd. Points). En partenariat avec l’Université de Pau et des Pays de l’Adour.

Ce qu’en dit l’éditeur :
Une soixantaine de textes courts empreints de poésie, véritable déclaration d’amour à la langue française.

« Ma langue au chat est le premier livre de Denis Hirson écrit directement en français. Il observe, constate, s’étonne, et s’étonne de ce qu’on ne s’étonne pas. Les Français ne s’étonnent jamais assez ; s’étonner c’est reconnaître qu’on ne sait pas tout d’avance, c’est en quelque sorte un aveu de faiblesse, et les aveux de faiblesse ne sont pas le fort des Français.

« Vous désirez, monsieur ? ? Oui, madame, je désire. »

« Vous êtes un particulier ? ? Euh… et vous, non ? »

Le ton n’est jamais cinglant ni agressif. Hirson vient à la langue française à sa manière inimitable, délicate et délicieuse, tel un Pan flûtiste sur la pointe des pieds. »

Nancy Huston

Né en 1951, Denis Hirson est anglophone et a grandi en Afrique du Sud. Installé en France depuis 1975, il est aujourd’hui maître de conférences en anglais à l’École Polytechnique et écrivain.

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Soirée sur Apollinaire avec Franck Balandier

Quand : mercredi 28 novembre à 18h30
Où : à la librairie

 

 

 

 

 

 

 

Rencontre avec Franck Balandier auteur d’Apo (éd. du Castor astral), roman sur Apollinaire, mort il y a cent ans, ainsi que du Paris de Guillaume Apollinaire (éd. Alexandrines).

Sur Apo :

« Apollinaire en prison !

Sur une idée saugrenue mais géniale de Picasso et du mystérieux Géry, Apo se retrouve, par une nuit diluvienne, complice du vol de la Joconde. En quelques jours, la police remonte jusqu’à lui : menottes, serrures, barreaux, cellule.  Cinq jours comme une éternité.

Du Paris de la Grande Guerre à la destruction de la prison de la Santé, le roman dévoile un Apollinaire sensuel ramené à sa condition d’homme et à ses failles. Pour s’en échapper, il ne sait qu’écrire : au café, en cellule, sous les bombes…

Avec cette fiction sensuelle, Franck Balandier force le retour à une expérience authentiquement humaine, loin du rapport institutionnalisé à Apollinaire. »

Le Paris d’Apollinaire :

 « Sous le pont Mirabeau coule la Seine / Et nos amours / Faut-il qu’il m’en souvienne / La joie venait toujours après la peine.
C’est à Paris que Guillaume Apollinaire, éternel vagabond, poète de l’errance, se fixe et trouve son équilibre. « Flâneur des deux rives », il y installe sa bohème. Poète, dramaturge, romancier, pornographe, journaliste, mystificateur, parfois même un peu voyou, il sait capter, mieux que personne, la modernité littéraire et artistique de la capitale.
Il en est le passeur magnifique.
Apollinaire tisse un réseau d’amitiés solides (Picasso, le meilleur ami, le Douanier Rousseau, Max Jacob, Gide, Cendrars…), et entretient des amours tumultueuses et parfois douloureuses. Il est le meilleur découvreur du surréalisme, dont il invente le nom, et devient le chantre et le précurseur d’une formidable épopée littéraire et artistique. C’est à Paris qu’il vit, qu’il travaille, qu’il aime. Et c’est à Paris qu’il meurt, le 9 novembre 1918, deux jours avant l’armistice, il y a tout juste un siècle. »

Rencontre avec Bertrand Louart et les éditions de La Lenteur

Quand : mercredi 5 septembre à 18h30
Où : à la librairie

Rencontre avec Bertrand Louart autour de son ouvrage critique de la biologie moderne, Les êtres vivants ne sont pas des machines, publié aux éditions de La Lenteur en janvier 2018. Les éditeurs seront également présents pour présenter leur catalogue et parler de leur travail.

« Dans le sillage des travaux d’André Pichot, Bertrand Louart signe une ambitieuse histoire critique de la biologie moderne. Ce qui unifie cette science est la conception des êtres vivants en tant que machines. Il dévoile les fondements idéologiques de sélection naturelle et de programme génétique. Une attaque percutante contre le darwinisme, d’un point de vue athée et libertaire. »

 

Rencontre dédicace avec Olivier Darrioumerle

Quand : mercredi 12 septembre à 18h30
Où : à la librairie

Venez rencontrer Olivier Darrioumerle auteur du roman Bienvenue à Veganland, publié aux éditions du Sable Polaire. Il s’agit d’une dystopie où les vegans ont pris le pouvoir et instaurent un régime totalitaire basé sur les nouvelles technologies. Présentation du livre suivie d’un débat et d’un apéritif convivial, comme toujours !

« Une cité idéale où les valeurs végans apportent équilibre, mieux-être et harmonie.
Green est végan depuis sa petite enfance, mais ses parents ne l’étaient pas. Rongé par cette faute originelle, il se comporte en éco-citoyen modèle.
Bazarov, quant à lui, est un ex-carnivore qui a gagné sa place grâce à ses performances en course à pied. Il paie sa dette écologique en travaillant dans un jardin collectif.
Leur conviction est perturbée par le nouveau référendum lancé sur les réseaux sociaux : « Pour ou contre l’éco-citoyenneté accordée aux ex-carnivores ? »
Un « sang rouge » vaut-il un « sang vert » ?

L’objectif est toujours le même : atteindre l’état suprême du bonheur, le modèle du dernier homme épanoui et libéré de toutes souffrances.

La Grande famille veille sur vous. »

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Taoufik Lahkim en dédicace

Quand : samedi 15 septembre de 14 heures à 18 heures.
Où : à la librairie

            

Taoufik Lahkim dédicacera ses romans Le Petit Français, La tête de l’emploi et Chez Biloute.

L’auteur : Né au Maroc, Taoufik Lahkim y a passé son enfance et son adolescence puis est venu faire ses études supérieures en France, à Lille. Il a obtenu la nationalité française en 1981. Impliqué depuis sa jeunesse dans le monde associatif et caritatif, notamment dans des actions d’alphabétisation, il a été dirigeant d’entreprise de nombreuses années. Il a terminé sa carrière professionnelle dans la région région bordelaise, dans la formation pour adultes en difficultés de réinsertion. Après avoir pris sa retraite, il s’est installé dans les Landes, où il continue d’accompagner bénévolement jeunes et moins jeunes dans leurs projets.

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Café-philo avec Thierry Paquot « Penser demain avec les utopies d’hier ? »

Quand : jeudi 27 septembre à 19h30
Où : à la librairie

Le philosophe et urbaniste Thierry Paquot sera à L’escampette pour un café-philo sur le thème « Penser demain avec les utopies d’hier ? ». La conférence sera précédée d’un moment musical avec le violoniste Benjamin Colosimo. Cette rencontre est organisée en partenariat avec la Communauté d’Agglomération Pau Béarn Pyrénées dans le cadre des Rendez-vous de l’urbanisme.

Thierry Paquot est professeur à l’Institut d’urbanisme de Paris (Université Paris-Est Créteil Val-de-Marne). Philosophe de l’urbain, il participe depuis plus de trente ans aux débats sur la ville, l’architecture et l’urbanisation. Il dénonce dans ses écrits l’urbanisme de l’ère productiviste et propose des alter-architectures au nom de l’écologie existentielle.

Il a publié de nombreux ouvrages, parmi lesquels : Habiter l’utopie. La Familistère Godin à Guise, (collectif, Les Éditions de la Villette, 1982, 1998, 2004), Utopies et utopistes (La Découverte, 2007), Introduction à Ivan Illich (La Découverte, 2012), Désastres urbains. Les villes meurent aussi (La Découverte, 2015), Le Paysage (La Découverte, coll. « Repères », 2016), Lettres à Thomas More sur son Utopie (et celles qui nous manquent), La Découverte, 2016, Dicorue. Vocabulaire ordinaire et extraordinaire des lieux urbains, CNRS éditions, 2017.

« PENSER DEMAIN AVEC LES UTOPIES D’HIER ?
Même si l’utopie de Thomas More (1516) s’évertuait à transformer le présent d’ici, ailleurs, nous pouvons imaginer le devenir de notre société en puisant dans les utopies passées afin de bien circonscrire ce qui le magnifierait. Bien sûr, il y a utopies et utopies, certaines plus ouvertes, joyeuses, novatrices que d’autres plus disciplinées (voire disciplinaires !), fermées, contraintes, aussi devons-nous préalablement nous interroger sur ce que nous appelons « utopie » et comprendre pourquoi elle semble en panne. L’effacement de l’ailleurs, l’échec meurtrier des communismes au XXe siècle et la prolifération des alternatives sociales et culturelles condamnent l’utopie à se renouveler. L’utopie n’est pas anticipatrice comme l’uchronie, aussi nous les combinerons, à partir de l’étude de ses trois facettes : le pouvoir et son partage, le travail et sa satisfaction, le savoir et ses apprentissages. Comme l’utopie se veut unitaire, ces trois facettes n’existent pas indépendamment des autres aspects de la vie sociale et individuelle de chacune et chacun, aussi parlerons-nous également de sentiments, de morale, de santé, d’écologie, de paix, du monde vivant, de communication…Le bonheur ignore ces limites. »

Du 25 au 29 septembre, l’Agglomération Pau Béarn Pyrénées organise « Les rendez-vous de l’urbanisme » : une série d’événements ouverts au public pour réfléchir sur l’avenir des centres-villes. Plusieurs spécialistes (Jean-Yves Chapuis, Olivier Razemon, Thierry Paquot, Nicolas Michelin…) dialogueront avec des acteurs locaux pour faire un état des lieux des centres urbains dans l’Agglo et avancer des pistes d’évolution à suivre. L’escampette est associée à ce moment d’échange et de réflexion. Nous serons présents vendredi 28 septembre à 12h30 au CAUE 64 (Conseil d’architecture, d’urbanisme et de l’environnement) place Reine Marguerite pour la présentation par Jean-Yves Chapuis de son ouvrage La ville n’est pas figée. Nous participerons aussi à une table ronde samedi 29 septembre à 9h30 à la Médiathèque André Labarrère sur le commerce en centre-ville.

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